Bréançon est une commune du Val-d'Oise située sur une butte dominant le plateau du Vexin, à environ 45 km au nord-ouest de Paris.
La commune est limitrophe de Marines, Le Heaulme, Haravilliers, Theuville, Grisy- les-Plâtres, Cormeilles-en-Vexin et Frémécourt.
Ses habitants sont les Bréançonnais(es).
Monuments et lieux de visite
L'église Saint-Crépin-et-Saint-Crépinien remonte au XIIe siècle. Partiellement détruite durant la guerre de Cent Ans, elle a été reconstruite au début du XVIe siècle. Elle est bâtie en forme de croix latine et possède un choeur du XIIIe siècle à chevet plat. Le clocher a été restauré en 1914. La cloche date de 1587.
Histoire
Le nom de Bréançon provient du pré-gaulois briga, hauteur, suivi du suffixe -ant et de -onem.
Le territoire de la commune est occupé dès l'époque Antique comme l'atteste la découverte de fondations gallo-romaines au lieu-dit La Marette. Le village subit les ravages de la guerre de Cent Ans comme plusieurs villages du Vexin et voit son église détruite. La seigneurie de Bréançon appartient en 1759 au marquis de Gouy, maréchal de camp des armées du roi, et lieutenant général d'Île-de-France.
Le village est desservi jusqu'en 1949 par la ligne de chemin de fer à voie métrique d'intérêt local Valmondois-Marines, inaugurée en 1886. Au cours de la Première Guerre mondiale, les troupes françaises sont cantonnées sur la commune, puis les troupes allemandes et finalement les troupes américaines au cours de la Seconde Guerre mondiale.
La commune est limitrophe de Marines, Le Heaulme, Haravilliers, Theuville, Grisy- les-Plâtres, Cormeilles-en-Vexin et Frémécourt.
Ses habitants sont les Bréançonnais(es).
Monuments et lieux de visite
L'église Saint-Crépin-et-Saint-Crépinien remonte au XIIe siècle. Partiellement détruite durant la guerre de Cent Ans, elle a été reconstruite au début du XVIe siècle. Elle est bâtie en forme de croix latine et possède un choeur du XIIIe siècle à chevet plat. Le clocher a été restauré en 1914. La cloche date de 1587.
Histoire
Le nom de Bréançon provient du pré-gaulois briga, hauteur, suivi du suffixe -ant et de -onem.
Le territoire de la commune est occupé dès l'époque Antique comme l'atteste la découverte de fondations gallo-romaines au lieu-dit La Marette. Le village subit les ravages de la guerre de Cent Ans comme plusieurs villages du Vexin et voit son église détruite. La seigneurie de Bréançon appartient en 1759 au marquis de Gouy, maréchal de camp des armées du roi, et lieutenant général d'Île-de-France.
Le village est desservi jusqu'en 1949 par la ligne de chemin de fer à voie métrique d'intérêt local Valmondois-Marines, inaugurée en 1886. Au cours de la Première Guerre mondiale, les troupes françaises sont cantonnées sur la commune, puis les troupes allemandes et finalement les troupes américaines au cours de la Seconde Guerre mondiale.